BarbaraWall, née le 25 mai 1948 à Perth (Australie-Occidentale), est une joueuse professionnelle de squash représentant l'Australie. Elle passe professionnelle en 1973 et devient la première australienne joueuse de squash féminin à devenir professionnelle [1].. Carrière. Née à Perth en 1948, Barbara apprend à jouer dans le centre de squash que ses parents George et Enid ont
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Jesais bien que la solution est facile (quitter ce travail) mais là est mon problème : j’y pense sans cesse, changer de métier, mais je suis complètement perdue, je ne sais pas ce que je veux faire de ma vie. J’aspire à autre chose et pourtant, je me dis que je ne sais pas quelle direction prendre, j’étudie les possibilités mais rien ne vient.
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Bienvenue Bonjour à vous et bienvenue sur mon site, Je suis Audrey BOLEAT, Coach de Vie à distance spécialisée en changement de vie qu'ils soient personnels ou professionnels. Depuis maintenant plus de 4 ans j'accompagne, pas à pas mes patients vers un épanouissement personnel et professionnel. Le point commun de ces personnes est qu'ils
Bonjourà tous, Je commence à douter de plus en plus sur ma vie professionnelle. En effet, mon but est très clair : être
4tFRTy. En novembre dernier j’ai été appelée pour être juré d’un procès en cour d’assises. Pour rappel la cour d’assises juge les personnes accusées de crime, de tentatives et de complicités de crime meurtre, viol, vol à main armée… C’est une juridiction non permanente. Elle se réunit généralement tous les trois mois pendant une quinzaine de jours. » extrait du site du Ministère de la justice Sympa comme programme, non ? Sans rentrer dans les détails de l’affaire, je me suis dit que ce serait intéressant de vous raconter mon expérience car je sais que beaucoup de gens comme moi avant ! se demandent comment ça se passe quand on est appelé pour être juré. Attention, billet fleuve et sans images !. Je reçois la nouvelle par courrier Tout a commencé un an avant lorsque j’ai reçu un courrier m’informant que j’avais été tirée au sort pour figurer sur la liste provisoire des futurs jurés de l’année 2013. Un deuxième tirage au sort allait avoir lieu quelques temps après pour définir la liste définitive. J’ai donc reçu un second courrier en début d’année m’informant que j’étais sur la liste définitive et qu’à ce titre je pourrais être appelée à siéger en temps que juré à n’importe quel moment dans l’année. Il faut savoir que j’étais ravie d’avoir été tirée au sort car j’avais toujours rêvé » d’être juré. Je me suis toujours dit que ça devait être une expérience très intéressante. Je commençais à me dire que je ne serai pas appelée quand j’ai reçu le courrier en octobre pour être juré à la session de novembre qui durait 15 jours. Durant cette session allaient se dérouler 3 procès dont j’ai été informée des motifs et des noms des accusés ce qui m’a un peu étonnée à ce stade dans le même courrier. Il s’agissait de viols sur mineurs de 15 ans ambiance. J’apprendrai plus tard que mineur de 15 ans » signifie en fait mineur de MOINS de 15 ans »… J’ai dû renvoyer le papier pour dire que je serai bien présente et j’ai ensuite dû prévenir mon employeur de ma future absence. Ce dernier ne peut refuser cette absence. Il est toujours possible de demander à être dispensé avant le procès mais toutes les demandes en rapport avec les contraintes professionnelles ont été rejetées par la cour car c’est un devoir civique. J’ai été étonnée de découvrir que ces demandes de dispenses se font le jour même du procès, juste avant, et sont faites devant tous les autres jurés, en public. Le juré dit pourquoi il ne peut être juré et la cour donne sa décision tout de suite devant tout le monde. Étonnant. Il y avait un juré qui avait un déplacement professionnel à l’étranger prévu de longue date et sa demande a quand même été refusée… En revanche les dispenses pour raison d’âge trop vieux ou de santé maladie contraignante du juré ou d’un proche dont il doit s’occuper ont été acceptées. Il y a aussi le point du salaire. La plupart des employeurs continuent de payer leurs salariés absents pendant le procès. Cela n’a pas été le cas du mien et j’ai donc eu un très gros trou dans mon salaire de novembre juste avant les fêtes et mon voyage en Australie, j’étais ravie… La cour indemnise les jurés non payés par leurs employeurs mais seulement » à hauteur du smic et je gagne un tout petit peu plus… surtout que j’ai été remboursée début mars soit plus de 3 mois après… heureusement que j’avais un peu d’argent de côté mais j’imagine que pour des gens avec une situation moins confortable ça aurait été très dur !! Après, je vous rassure, sur la trentaine de jurés nous n’étions que 5 à ne pas être payés par nos employeurs… donc ce n’est pas la norme. La cour verse également une indemnité journalière pour chaque jour où le juré est présent au procès environ 80 € dans mon cas et une indemnité de transport et de repas. Le jour du premier procès Le premier jour de la session, tous les jurés tirés au sort sont venus au tribunal dès le matin. La présidente de la cour nous a expliqué comment cela allait se passer et on nous a passé un film explicatif. C’est également à ce moment là qu’ont été traitées les demandes de dispenses. Puis nous sommes revenus à 14h pour l’ouverture du procès. Avant de démarrer les jurés qui siégeront durant le procès sont tirés au sort nous avions tous un numéro. Notez que tout le monde est dans la salle les avocats des accusés, la défense et surtout… les accusés !! C’est assez troublant de se faire tirer au sort devant eux surtout qu’une fois le numéro tiré au sort, nos nom, prénom et profession sont prononcés devant tout le monde ! On se lève et marche vers l’estrade pour s’asseoir à la place des jurés. Sauf qu’on peut se faire récuser les avocats des accusés peuvent refuser certains jurés. Ça a été le cas de 4 ou 5 personnes qui ont été stoppées dans leur élan vers l’estrade. J’imagine qu’on a vraiment l’impression de se faire rejeter, c’est bizarre. J’ai été appelée pour être le 5ème juré titulaire sur 6. J’ai attendu un peu avant de m’avancer, de peur de me faire récuser, mais j’ai réussi à marcher jusqu’au bout et à m’asseoir à ma place sans que ça n’arrive, ouf !! Après les 6 jurés titulaires, 3 jurés suppléants ont été tirés au sort. Ils allaient assister à tout le procès comme nous mais n’allaient pas délibérer le dernier jour. Ils étaient là au cas où l’un des 6 titulaires tomberait malade ou ne pourrait continuer à assister au procès ou délibérer le jour J. Notez que je suis tombée bien malade pendant le procès la nana qui passait son temps à se moucher entre 2 détails bien glauques de l’affaire, c’était moi mais je me suis accrochée car il n’y avait pas moyen que je ne délibère pas le dernier jour !! Une fois les 9 jurés déterminés, les autres jurés pouvaient rentrer chez eux ou aller au travail ou rester assister au procès. Ils n’étaient pas complètement libres pour autant car ils allaient devoir revenir pour le 2ème et le 3ème procès en 2ème semaine de session. Petite précision je pensais me retrouver dans une configuration comme dans Ally McBeal chacun ses références ^^ où les jurés seraient placés en face des accusés, or ce n’était pas le cas. En fait, quand vous regardez la salle depuis les bancs du public, en face vous avez l’estrade avec le président de la cour et pas le juge », 2 assesseurs à ses côtés des conseillers à la cour d’appel ou magistrats du tribunal de grande instance du département des assises et 3 jurés placés à côté de chaque assesseur. Les 3 jurés suppléants sont placés derrière. Toute la semaine nous allions nous asseoir toujours à la même place, dans l’ordre dans lequel nous avions été appelés. Ensuite sur la droite, il y a le box des accusés où ils sont assis avec des policiers qui les surveillent, devant eux, leurs avocats et en face d’eux les avocats de la défense et l’avocat général un peu plus haut sur l’estrade celui avec un manteau rouge et une fourrure tachetée. C’est parti pour 6 jours de procès ! Mais en fait, comment ça se passe un procès ? Mon » procès était assez lourd car nous avions plusieurs accusés à juger en même temps dans cette affaire. De fait, il allait durer pendant 6 jours. On a tous vu des films et des séries avec des procès dedans mais pour autant j’ai vraiment découvert le fonctionnement et surtout l’intérêt du procès en étant juré. Finalement, toutes les personnes dans la salle sauf le public et les jurés connaissent les moindres détails de l’affaire par cœur et le procès est une grande explication, comme une pièce de théâtre, où toute l’affaire va nous être réexpliquée à nous jurés, pour que l’on puisse juger au mieux. Nous sommes assis derrière notre table avec un stylo et des feuilles de papier pour prendre des notes au final j’aurais gratté 20 pages recto/verso !!. Dans mon cas, il s’était passé quelques années entre le moment où les accusés ont été inculpés et le procès. Durant ces années différentes analyses et rapports d’expertise ont été fait par la police, les psychologues, médecins, familles d’accueil, les témoins… tous ces documents ont été versés au dossier d’instruction et les conclusions nous ont été présentées pendant ces 6 jours. On se retrouve donc avec ces experts, policiers, etc… qui viennent témoigner à la barre et raconter de nouveau ce qu’ils ont raconté dans leur rapport qui date d’il y a quelques années. Je précise car ce n’est pas évident, ils ont été plusieurs à avoir des notes pour les accompagner car ils disaient que cela faisait longtemps qu’ils avaient traité ce cas. Chaque jour était dédié à des moments clés du dossier le premier jour nous avons fait connaissance » avec les accusés qui nous ont raconté leur histoire depuis leur enfance grâce aux questions du président qui parcourait le dossier. Puis tout au long de la semaine, nous avons abordé différents sujets les expertises psychologiques des accusés, les faits comment ils ont été découverts, ce qui a été rapporté par les enfants, la famille, les amis…, les expertises psychologiques et médicales des enfants… et tout au long de ces témoignages, le président interrogeait les accusés pour savoir ce qu’ils en pensaient, leur version des faits… toujours avec des questions ouvertes pour leur permettre de dire ce qu’ils souhaitaient dire. L’objectif est vraiment que les jurés aient bien en main toutes les clés de l’affaire pour pouvoir la juger. Nous pouvions d’ailleurs poser des questions si certains éléments n’étaient pas assez clairs pour nous en passant un petit papier au président pendant l’audience. Au passage, c’est toujours un peu délicat d’entendre tous ces détails, parfois très intimes, en présence des accusés. Surtout que dans mon cas, ma place était assez proche d’eux. On ne peut s’empêcher de les regarder, de voir leurs réactions, de s’interroger… et je pense que c’est pareil pour eux. Au final on se retrouve à se scruter en chien de faïence pendant une semaine sans jamais se parler directement… un peu bizarre surtout quand on doit les juger. Nous faisions des pauses toutes les 2/3 heures environ. A ce moment nous nous retirions dans notre petite salle réservée au jury et c’était l’occasion d’échanger avec les autres jurés. Le midi nous mangions ensemble. Il se créé forcément une relation » avec les co-jurés car on se retrouve embarqués dans cette aventure plutôt éprouvante il faut le dire et ça fait du bien de confronter ses idées, de voir comment chacun appréhende les faits. C’est important de pouvoir en parler car une fois rentré le soir à la maison nous n’étions pas censés parler des détails de l’affaire avec d’autres personnes. L’avant dernier jour ont eu lieu les plaidoiries des avocats des différentes parties les accusés, la défense et l’avocat général certaines plus longues et soporifiques que d’autres…. Il s’agit d’une grande conclusion de tous ces jours de procès et clairement l’objectif est d’interpeller les jurés et de réussir à les toucher particulièrement pour faire pencher leur jugement d’un côté ou de l’autre. Le dernier jour, les accusés se sont exprimés une dernière fois le matin et nous nous sommes retirés dans notre salle pour délibérer. Nous avions apporté notre déjeuner car une fois dans la salle nous n’avions pas le droit d’en sortir avant la fin de la délibération. Nous avons d’abord commencé par une discussion tous ensemble le président, les 2 assesseurs et les 6 jurés titulaires, les 3 suppléants devant rester dans la salle du tribunal jusqu’à la fin de la délibération. A l’aide de nos notes en 6 jours de procès on ingurgite beaucoup d’informations !! nous avons confronté nos points de vue, répondu à des questions que certains pouvaient encore avoir, l’idée étant vraiment de lever la moindre zone d’ombre qui pourrait subsister afin de pouvoir prendre notre décision dans les meilleures conditions. Nous sommes ensuite passés aux votes. Concrètement, nous devions répondre par oui ou non à plusieurs questions très précises concernant les accusés X est-il coupable de viol sur la personne de X ? X est-il coupable d’avoir fait X sur X ? Etc. A ce moment, le plus dur a été de ne pas se laisser polluer par toute l’histoire. C’est à dire que nous devions uniquement répondre aux questions posées et ne pas prendre en compte d’autres faits que nous aurions aimé juger également. Ce n’était pas ce que l’on nous demandait. A chaque question, nous écrivions oui ou non sur un papier que nous mettions dans une urne que nous faisions passer à toute la table. A la fin du tour de table, le président aidé du 1er juré dépouillait l’urne et inscrivait la réponse à la question sur son document officiel. Après avoir répondu à une quinzaine de questions nous avions notre jugement final coupable ou non coupable et nous avons ensuite discuté des peines de prison aidés des magistrats pour savoir ce qui se fait dans ce genre de cas. Là encore nous avons d’abord discuté puis voté. Enfin, nous avons discuté des à côtés » du jugement les obligations des accusés une fois sortis de prison par exemple obligation d’avoir un suivi psychologique pendant X temps, interdiction de travailler avec des enfants, etc…. Ensuite le président est sorti de la salle avec notre jugement pour aller le taper au propre dans un document officiel sur son ordinateur. C’est là qu’a commencé l’interminable attente car sans rentrer dans les détails, il a eu un souci d’ordi et a dû tout écrire à la main ce qui a pris plusieurs heures… et nous sommes restés prisonniers » jusqu’à la fin de la journée dans notre salle sans fenêtre… à la fin nous n’en pouvions plus car nous n’étions pas au courant de ce qui pouvait prendre autant de temps ! Puis nous nous sommes rendus dans la salle et le président a rendu son jugement. Et voilà , c’était fini… enfin pas tout à fait ! Le lendemain nous devions tous revenir la trentaine de jurés du premier jour pour le tirage au sort du 2ème procès. Notre premier juré a été retiré au sort mais sinon aucun de nous n’a été choisi. Certains d’entre nous ont choisi de rester un peu pour l’ouverture du 2ème procès qui était lié au nôtre mais en fait après 20 minutes dans la salle nous nous sommes dit que nous n’allions pas rester. C’était trop lourd de repartir du début avec un nouvel accusé… notre procès était fini et on avait finalement envie de tourner la page. De plus, le 3ème procès avait été annulé donc nous n’allions plus devoir revenir pour un nouveau tirage au sort. C’est ainsi que nos chemins se sont séparés, sur le parking sous un beau soleil et chacun est reparti vers sa vie… Les questions bonus C’est pas complètement glauque de juger une affaire de viol sur enfants ? Oui… et non. Premier point je pense que ça dépend vraiment des gens, de leur histoire, de leurs convictions… c’est aussi ça qui est bien dans ce système de jurés tirés au sort, personne ne connaît ces détails de leur personnalité. Une de mes co-jurés était maman d’enfants en bas-âge et ça a été plutôt compliqué pour elle à gérer. De mon côté, je dirais que je suis assez familière » des histoires de viol / pédophilie de personnes dans mon entourage. De fait je pense avoir été un peu moins choquée par les détails. Deuxième point le fait que le procès se déroule sur plusieurs jours et que les faits soient constamment évoqués durant ces jours ne les rend pas moins graves mais je pense qu’on s’habitue à entendre des trucs glauques. Surtout qu’on rentre dans les détails des faits je me souviendrai toujours de la demie-phalange » introduite vous ne voulez pas savoir où et de leurs conséquences physiques et mentales. D’autant plus que notre affaire était particulièrement moche pour le coup… Après je ne vous cache pas que j’ai eu les larmes aux yeux 2/3 fois. Pas évident à gérer surtout que n’étions censé montrer aucune émotion finalement j’étais contente d’être malade et de pouvoir me moucher l’air de rien !. Et d’ailleurs, ce ne sont pas les détails glauques qui m’ont émue mais certains autres détails qui faisaient écho à mon histoire et celle de mes proches… Moi si je dois juger une affaire de viol sur enfant, je lui mets perpet’ et puis c’est tout ! » Phrase entendue de la bouche de quasi toutes les personnes à qui j’ai parlé de mon expérience. En fait c’est vraiment pas si simple et c’est là qu’on se rend compte de l’importance d’un procès de plusieurs jours pour bien comprendre tous les tenants et les aboutissants de l’histoire. Oui un viol sur enfant c’est mal. Mais il convient tout de même de connaître tout le contexte et les détails de l’histoire un viol ça peut vouloir dire beaucoup de choses pour pouvoir juger justement. Et puis on s’aperçoit qu’une personne peut se retrouver accusée de faits pour tout un tas de raisons et finalement, grâce à tous ces jours de procès, on se rend compte que ces accusations, telles qu’elles ont été formulées, ne tiennent pas forcément toutes la route. C’est là que je suis persuadée d’avoir eu beaucoup de chance de tomber avec mes co-jurés. Nous étions tous très mesurés et avons su prendre de la distance vis à vis de l’affaire pour pouvoir la juger justement. C’était très agréable de ne pas avoir à se battre avec des personnes remplies de convictions binaires telles que viol sur enfant -> démon incarné -> la mort par décapitation dites-moi si vous avez la référence de ce dernier ^^. Et puis surtout, mine de rien, une fois qu’on se retrouve à cette place de juge où l’on décide tout de même du restant de la vie des accusés c’est à dire passer plusieurs années en prison, je peux vous dire qu’on fait moins le malin et qu’on réfléchit à 2 fois avant de donner son avis. A la fin du procès, les assesseurs nous ont confirmé que nous avions été un très bon jury et que ça se passait rarement aussi bien ! un des jurés nous avait même fait un gâteau pour la délibération . Comment faites-vous pour bien juger ? Ça c’est encore une autre histoire. La seule question qu’on nous demande en tant que juré est avez-vous une intime conviction ? . On nous le dit le premier jour, ces mots sont inscrits dans la salle des jurés et on nous le répète avant de voter lors de la délibération. On a besoin de connaître tous les détails de l’affaire mais finalement c’est avec cela que l’on juge. Dans notre cas une personne a été innocentée, je peux vous dire qu’il faut l’avoir bien accrochée l’intime conviction pour voter cela dans une affaire de viol… Comment as-tu vécu ce procès, est-ce que cela a eu des conséquences sur toi ? Durant tout le procès j’allais très bien enfin j’étais malade mais sinon ça allait. Je rentrais chez moi le soir l’esprit plutôt léger, j’en parlais rapidement à mon entourage, j’arrivais bien à dormir. En revanche je pense d’une part que je ne suis pas tombée malade par hasard et j’ai surtout eu un mal de chien à m’endormir le dernier jour du procès, une fois que tout a été fini. Je n’arrivais pas à ne pas penser à l’affaire, à toutes les infos que j’avais ingurgitées… quand on parle des mêmes personnes pendant 6 jours, qu’on rentre dans les détails de leur vie, une fois que c’est fini c’est quand même dur de se défaire de ce quotidien qui a été le nôtre pendant cette période. Ça m’a duré une nuit et puis ça a été par la suite. Conclusion de ce billet fleuve Je suis ravie d’avoir vécu cette expérience. Je trouve le concept de juré populaire vraiment très bien car il n’est pas biaisé et je pense que chacun devrait pouvoir vivre cette expérience une fois dans sa vie. D’un coup on se retrouve avec une grande responsabilité et ça remet aussi les idées en place au niveau civisme et fonctionnement de la justice. Voilà ! J’espère que ça vous aura intéressé et si vous avez des questions n’hésitez pas à me les laisser en commentaire ! Edit j’ai été invitée à raconter mon expérience pour l’émission de radio Les Pieds sur Terre sur France Culture. Vous pouvez écouter mon récit Céline ainsi que celui de deux autres anciens jurés en cliquant ici. J’ai également été interviewée pour le journal de 20h de France dans un reportage intitulé Faut-il supprimer les jurés d’assises ? » à revoir ici.
SommaireAcceptez votre envie de changementPosez-vous les bonnes questionsLe bilan de compétencesFormez-vous pour évoluer “Je ne sais pas quoi faire de ma vie” Nombreuses sont les personnes à s’être faites cette remarque au cours de leur vie. Selon une enquête Ipsos, 56% des Français ont changé d’orientation professionnelle au moins une fois lors de leur carrière, un chiffre en constante évolution. Trouver sa voie professionnelle n’est pas simple, c’est pourquoi, nous vous donnerons dans ce dossier, les grandes étapes à suivre afin d’envisager sereinement une reconversion professionnelle. Envie de changer de vie professionnelle ? 100% financé par le CPFSalariés en poste ou demandeurs d’emploiÀ distance ou en face-à -face TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Acceptez votre envie de changement Ne pensez pas que votre envie de changer de vie soit un échec. Quelles qu’en soient les raisons, elles doivent au contraire être prises comme une motivation nouvelle vous permettant d’aller de l’avant. Vos expériences précédentes, vous auront apportées des compétences et de la maturité qui vous permettront d’envisager plus sereinement la poursuite de votre parcours. Posez-vous les bonnes questions Plutôt que de penser Je ne sais pas quoi faire de ma vie », essayez d’être constructif et commencez par faire votre bilan personnel en vous posant les questions suivantes Si vous êtes salarié Pourquoi mon travail actuel ne me satisfait-il pas ? Cela concerne-t-il l’ambiance de travail, la société, le cadre de travail, le salaire trop faible, les tâches que vous avez à réaliser ?Si vous êtes demandeur d’emploi, essayez d’identifier les raisons de votre difficulté à trouver un emploi s’agit-il d’un manque de formation ? Le secteur est-il bouché ? N’hésitez pas à demander aux recruteurs les fondements de leur refus, cela vous fournira de précieuses sont les secteurs d’activités qui vous plaisent ? Dans quel poste vous verriez-vous ? Plus largement, quels sont vos centres d’intérêt ? Même si cette étape peut être plus compliquée qu’elle n’y parait, répondre à ses questions vous permettra de connaitre vos envies. Votre envie de changement est-elle liée à votre cadre de travail ou à votre poste ? Changer d’entreprise vous permettrait-il de trouver une nouvelle motivation ou au contraire devez-vous envisager une reconversion professionnelle ? Envie de changer de vie professionnelle ? 100% financé par le CPFSalariés en poste ou demandeurs d’emploiÀ distance ou en face-à -face TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Le bilan de compétences Le bilan professionnel peut être un bon moyen d’envisager une évolution de poste ou une reconversion, il vous donnera des pistes vous permettant d’orienter vos choix plus facilement. Le bilan professionnel permet de définir vos besoins, vos motivations et identifie vos compétences afin d’établir un projet professionnel et de prévoir les moyens de le mettre en œuvre, libre à vous par la suite de mettre en œuvre ses actions ou non. Le bilan de compétences est accessible aux salariés sous certaines contraintes d’ancienneté. Un congé bilan de compétence sera alors accordé par l’employeur. Les demandeurs d’emploi peuvent également bénéficier d’un bilan de compétences pris en charge par Pôle emploi si celui-ci est adapté à leur besoin. À noter que pour les demandeurs d’emploi, d’autres bilans sont possibles tel que l’Évaluation des compétences et des capacités professionnelles ou encore l’immersion professionnelle qui se veulent plus concrètes et ciblées, idéales donc si vous avez déjà une idée de reconversion sans être certain de votre choix. Envie de changer de vie professionnelle ? 100% financé par le CPFSalariés en poste ou demandeurs d’emploiÀ distance ou en face-à -face TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Formez-vous pour évoluer Si votre besoin est de faire évoluer votre carrière afin d’accéder à des postes plus gratifiants ou d’accéder à un emploi pour lequel vous n’êtes pas forcément qualifié, il peut être nécessaire de vous former. Si vous pensiez que les études étaient réservées aux personnes jeunes, détrompez-vous, il existe aujourd’hui des possibilités de se former professionnellement quel que soit votre âge. Pour les demandeurs d’emploi, Pôle emploi propose de nombreuses formations. AFPA, GRETA, CNED… Les organismes de formations sont divers et les formations couvrent tous les secteurs d’activité. Consultez votre conseiller qui vous informera sur les possibilités qui s’offrent à vous. Les salariés peuvent quant à eux demander un congé individuel de formation CIF à leur employeur. Ce congé rémunéré vous permettra de suivre une formation qualifiante et de vous former à un nouveau métier ou acquérir de nouvelles compétences. Si vous souhaitez évoluer professionnellement tout en restant dans votre secteur d’activité, pensez à la Validation des acquis de l’expérience VAE. Cette VAE vous permettra d’obtenir un certificat ou diplôme reconnu par l’état en rapport avec vos expériences professionnelles. Consulter un point conseil vous permettra de connaître la viabilité de votre projet. 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Ton avenir est trouble et incertain ? Tu es dans le flou le plus total et tu te poses un milliard de questions ? Aïe, on dirait que ce sentiment d’incertitude te démotive et te décourage au plus haut point. Bon, même s’il peut être difficile d’aller de l’avant dans cette situation, première chose, essaie de ne pas te concentrer sur ta frustration et ton anxiété ! Il existe des moyens efficaces de puiser dans ton espoir et de surmonter les obstacles qui te font te sentir perdue dans ta vie. Voici 7 solutions pour avancer de manière optimiste vers ton avenir rêvé. On y va ? Tu te demandes pourquoi tu es perdue dans ta vie ? Pourquoi tu n’as pas ou plus de passion ? Pourquoi le monde du travail est si cruel ? Et les relations de couple si compliquées ?… La cause est toujours la même la PEUR. Malheureusement, la peur fait partie de nous, nous sommes nées avec et c’est grâce à elle que notre espèce a survécu, entre autres, aux dinosaures et a su se frayer un chemin jusqu’au 21ème siècle… Mauvaise nouvelle donc, il n’est pas prévu pour le moment que cet outil évolutif disparaisse de notre système de protection et d’adaptation ! Et donc, malheureusement pour toi, la chose même qui te maintient en vie peut être la seule chose qui te maintient émotionnellement coincée. Bien qu’elle soit destinée à t’aider à naviguer en toute sécurité dans la vie, elle peut être l’une des forces les plus inhibantes si tu lui donnes trop de pouvoir. Cependant, je t’invite à prendre conscience d’une chose la peur le doute l’incertitude… Si, si, c’est vrai ! mais si tu as envie de creuser, tu peux écouter mon épisode de podcast n°36 pourquoi le bonheur nous fait-il peur ? ». Mais, revenons à nos moutons ! Si tu ne veux plus te sentir perdue dans ta vie, il va falloir reprendre le pouvoir sur ta vie… Là encore plus facile à dire qu’à faire, voici donc 7 propositions de solutions pour y arriver ! Les 7 Solutions pour aller de l’avant positivement 1. Change ton mindset Pour commencer, change ton attitude en changeant ton mindset. C’est une technique de travail sur soi », populaire pour une bonne raison, et elle peut prendre toutes sortes de formes différentes. Tu te sens déprimée ? bouge ton corps danse fait de l’exercice… Tu rumines encore, tu broies du noir ? Chasse tes pensées négatives écoute ta musique la plus optimiste chante Libérééeee-délivrééee » ou pratique l’auto-méditation, le yoga, l’humour, la dérision, ou toute autre technique visant à te faire changer d’humeur Autre piste… Essaie de privilégier, autant que faire se peut, le contact avec des personnes qui te font te sentir bien et qui te connaissent vraiment. Alors fuie Marie Micheline de la compta avec son tailleur gris et son humeur de M… dont l’activité favorite au café est de se plaindre ou de critiquer ! Mais rapproche-toi de Marie Marine qui, elle, a su se dépêtrer d’un prénom quelque peu étrange et qui se réjouit de tout et rien – et a toujours un petit mot gentil pour chacun ! Parfois, le simple fait de leur parler sera suffisant pour te sortir de tes doutes. Et sinon, tu peux toujours te faire accompagner par une psycoach de confiance si tu vois ce que je veux dire ! . Contacte-moi ! 2. Bloque la négativité et assume-toi Je me sens perdue dans ma vie »… Voilà ce que tu te rabâches à longueur de temps ? JE SAIS CE QUE C’EST ! Tu n’imagines même pas le nombre de fois où j’ai pu me faire cette réflexion, ou je me confrontais à mes doutes et à mes pensées négatives… Si cet état a été en partie déclenché par la négativité des autres ou par des personnes qui te disent comment tu dois te comporter… je te conseille alors de porter toute ton attention sur ta mission de vie et sur ta propre vision de ce à quoi ressemblera ton rêve, une fois réalisé. En gros, crée ta bulle, écoute-les, sans vraiment les écouter, et fais plus de place à ta petite voix intérieure la gentille hein, pas celle qui a intégré les doutes et les avis des autres !. Attention, révélation… Ta vie est sous ton propre contrôle et celui de personne d’autre ! Et oui, au final, tu as beau écouter les uns et les autres, à la fin, rappelle-toi que celle qui prends la décision, c’est toi et rien que TOI. Tu es créatrice de ta vie. Et, au fond, je suis sûre que tu sais ce qui est bon pour toi. Sois en phase avec le sentiment de confiance que tu as en toi-même. Comment ? En te répétant des affirmations stimulantes chaque jour et en écrivant dans ton petit carnet favori les croyances positives qui contrecarrent tes croyances limitantes et tes pensées paralysantes ton cerveau pourri » quoi !. 💫 Oui je sais, tu l’as déjà lu un milliers de fois, tu as même sans doute commencé douze carnets et tu as abandonné en route… Mais pas besoin d’avoir douze affirmations différentes choisis-en une ou deux, et dès que tu passes devant le miroir ou que tu te laves les dents ou les mains, tu te la répètes pour bien la faire entrer ! Question carnet, si parfois tu n’en as pas sous la main, utilise la fonction note de ton téléphone pour les avoir toujours sous la main en cas de crises de cerveau pourri ! 3. Oublie le passé Alors non, ne t’y méprends pas, je te ne dis pas d’enterrer tout ce que tu as vécu jusqu’à aujourd’hui et de faire fi de tout… Non. En revanche, la petite voix dans l’oreillette me dit qu’il y a de fortes chances que tu regardes ta vie future à travers des filtres de peur et d’échecs de ton passé ! Et bin, rien de mieux pour s’empêcher d’avancer. À ce propos, tu peux trouver quelques pistes pour comprendre comment rebondir après un échec en cliquant ici ! Bref. Pour en revenir à nos moutons, il est important que tu regardes le passé pour ce qu’il est… à savoir, passé ! Tu ne peux plus rien y faire, tu ne peux plus y retourner… c’est fini, passé quoi ! Mais sans vouloir essayer de l’oublier… Parce que, d’une part, c’est pratiquement impossible, et, d’autre part, ce passé c’est aussi la somme d’expériences qui fait que tu es qui tu es et que tu as appris autant de précieuses leçons. Laisse-le à sa place ! Je ne sais pas si tu sais, mais nos souvenirs négatifs s’imprègnent souvent bien plus facilement que nos souvenirs négatifs… C’est encore une gentille fonctionnalité issue de nos mécanismes de survie ! Cela explique aussi pourquoi quand on se réfère à notre passé, il y a de fortes chances qu’on remonte en priorité des expériences difficiles, des échecs cuisants, des moments douloureux ! C’est donc en laissant ton passé dans ton passé, en arrêtant de le rappeler pour être sûre et décider que tu vas pouvoir avancer, passer à autre chose, laisser derrière toi des croyances limitantes et construire des croyances renforçantes ! On est bien d’accord, c’est plus facile à dire qu’à faire… mais personne ne te demande de le faire en claquant des doigts, d’être première de la classe en laissage derrière soi de passé » et à devenir une experte… Non, sois aussi patiente et bienveillante. Prends le temps, identifies à quels moments, avec quels doutes ton passé se réinvite, cherche à comprendre de quoi il veut te protéger et remercie-le gentiment en lui disant que c’est bon, cette fois, tu n’as pas besoin de lui car tu as confiance ! 4. Commence petit Si tu es coincée parce que tu as une tâche particulière à laquelle tu ne veux pas t’attaquer et que tu es paralysée par la pensée, trouve quelque chose de petit que tu peux faire pour obtenir une victoire ». C’est la fameuse théorie des petits pas que j’affectionne tout particulièrement ! Si tu commences la pâtisserie, il y a de fortes chances que tu ne te sentes pas des plus motivées à réaliser un millefeuille. Dans tes projets c’est pareil ! Si tu veux viser la lune, vas-y mais commence peut-être à esquisser les plans d’une partie de ta fusée ! Ce sont ces petits pas qui t’emmènent vers de longs et beaux voyages… Divise ta tâche la plus importante et désagréable ou anxiogène en de nombreuses petites sous-tâches et effectue au moins une d’entre elles aujourd’hui. Oui oui tu m’as bien entendue AUJOURD’HUI ! Utilise ton énergie et ta motivation – et combats ton anxiété ou ton syndrome de l’imposteur en passant à l’action ! Même cette toute petite action peut t’aider à sentir que tu vas de l’avant et peut rendre les tâches, redoutées ou intimidantes, gérables. Prends aussi le temps de découvrir et comprendre ce qui te retient. Par exemple, il peut s’agir d’une ancienne relation ou d’un travail sans issue. Sais-tu quel est le tien ? Car lorsque tu sais ce que c’est et que tu t’en débarrasses, toutes les autres petites choses comme les doutes ou les personnes toxiques s’éloignent beaucoup plus facilement de ton chemin. Alors demande-toi si je pouvais changer une chose dans ma vie, ce serait quoi ? » Tu as compris l’idée ? C’est la seule chose sur laquelle tu dois travailler le plus dur. Et ne t’inquiète pas si tu rencontres des difficultés pour localiser cette chose… Ma boîte à outils contient toutes les ressources dont tu as besoin pour commencer à retrouver du sens à ta vie. 5. Respecte un horaire Je ne suis pas la pro de l’organisation. J’aime me décrire comme une rebelle bordélique mais… je suis structurée et cela est un gros point fort. Je vois beaucoup de personnes géniales, motivées mais anxieuses qui manquent de structure et d’organisation et qui peuvent se noyer dans une verre d’eau en aussi peu de temps qu’il faut pour le dire. S’il y a une chose que j’ai retenue de mes années de chef d’entreprise de PME c’est qu’être coincée dans un flou artistique va avoir pour conséquence inévitable l’inaction ! L’une des meilleures choses que tu puisses faire pour toi-même est d’établir un programme et de t’y tenir. Même si tu n’as pas d’emploi actuellement ou que tu es freelance, détermine tes heures d’ouverture », les moments où tu travailles pour tes clients et les moments ou tu travailles pour toi, ton avenir, tes objectifs. Même si tu travailles seule, engage-toi ! Crée tes listes et suis tes projets ! Au départ, tu peux n’y consacrer qu’une heure par semaine, puis progressivement augmente le rythme. Tu seras surprise de voir que cela devient un plaisir – le plaisir dans l’effort et dans la réalisation. Quand tu as trouvé ton rythme de croisière, tu peux ensuite augmenter progressivement le temps que tu consacres à travailler sur tes objectifs. 6. Vis dans la gratitude Si tu es incapable d’être reconnaissante pour ce que tu as déjà et tout ce qu’il y a à chérir dans ta vie, tu risques de faire tourner ta propre roue de l’infortune ! Tu as probablement déjà envisagé l’idée de tenir un journal de gratitude… C’est très à la mode. Tu sais, cet exercice courant de la loi de l’attraction ! Mais il existe également d’autres excellentes façons de vivre dans la gratitude. Par exemple, essaye de cultiver une habitude quotidienne de remercier quelqu’un qui t’est cher et pratique des méditations de pleine conscience afin de laisser des sentiments d’amour, de compassion et d’acceptation t’envahir. Le soir au dîner, tu peux faire un tour de table et demander à chacun de partager un bon moment de sa journée pour lequel il se sent reconnaissant. En plus, ça fait une pause conviviale au dîner et évite de se focaliser sur la télé ou les écrans ! 7. Aide les autres et va de l’avant Lorsque tu aides les autres à sortir de leurs propres incertitudes, tu établis un lien authentique qui est profondément gratifiant. Bien sûr, l’idée n’est pas de retomber dans le piège de ne se focaliser QUE sur les envies et besoins des autres ! Je ne propose donc surtout pas de négliger tes propres besoins et de sacrifier tout ton temps et ton énergie pour les autres, mais il y a un équilibre à trouver ici. C’est une certitude ! Je fais partie de ces personnes qui, durant des années, me faisait toujours passer en deuxième, jusqu’à ce que j’implose. J’ai mis longtemps à trouver cet équilibre entre trouver et prendre sa place tout en restant disponible et généreuse pour les autres. Pendant longtemps j’ai cru que j’allais devenir une connasse autocentrée… Mais aujourd’hui, j’ai appris à penser à moi et cela m’a même permis de laisser une place bien plus intéressante aux autres ! Lorsque tu fournis du soutien et de l’inspiration aux gens, tu obtiendras en retour plus de soutien et d’inspiration de l’univers. Si en revanche, tu te concentres sur la jalousie ou refuses de partager l’une de tes propres ressources… il y a fort à parier, que tu obtiendras moins de ressources de l’univers et tu auras plus de chances de rester dans tes doutes et ta négativité plus longtemps. Choisis ton cercle… Le vertueux qui équilibre ta place et celle des autres ou le vicieux qui prend un et exclut l’autre ! En fait, ce n’est pas si compliqué. Il faut juste se rappeler que ça peut arriver à tout le monde de s’embourber dans sa vie et qu’il n’est pas toujours facile de s’en sortir seule. Ne culpabilise pas d’avoir vécu cette expérience très humaine ! Si tu t’en tiens à ta vision de la vie et à ta mission de réussir, tu te retrouveras à avancer dans le bonheur et l’excitation. ✨ Prendre de la hauteur pour avancer… et ne plus se sentir perdue dans sa vie Prête à améliorer ta vie et à transformer ton état d’esprit ? Utilise tes doutes, ta sensibilité, ton émotivité et tes failles pour ancrer ton identité et t’épanouir dans toutes les sphères de ta vie ». Tu sais… Traverser la vie est similaire à la natation. Si tu es dans l’eau et que tu n’avances pas, tu coules ! Alors, je te propose de sortir la tête de l’eau en prenant de la hauteur sur ta situation identifie ton mal-être et sa cause nomme le ressenti de tes émotions, le contexte ose regarder les choses en face… Pour cela, mon accompagnement sur mesure est idéal afin d’aborder ces phases de vie avec plus de conscience et de sérénité ! Maintenant, que tu as ces quelques outils en main pour moins te sentir perdue dans ta vie, tu vas pouvoir avancer vers ton avenir de manière optimiste. Contacte-moi, dès maintenant, pour découvrir mes méthodes d’accompagnement ! Bénédicte – Passages Insolites. Nous utilisons des cookies pour vous proposer une meilleure expérience de navigation sur notre site. En cliquant sur OK vous consentez à leur utilisation.